Destins de femmes à Mumbai
Grand Prix du Festival de Cannes, « All we imagine as light », réalisé par la cinéaste indienne Payal Kapadia, est un conte poétique et féministe.
Grand Prix du Festival de Cannes, « All we imagine as light », réalisé par la cinéaste indienne Payal Kapadia, est un conte poétique et féministe.
Tous les chemins mènent à la New Rome dans le film du « maestro », une dinguerie cinématographique. Présenté au festival de Deauville, c’est « une fable » politico-sociétale, fresque chaotique et folle épopée de science-fiction.
Les films racontent les Etats-Unis au Festival du Cinéma Américain de Deauville, où « In the summers » a reçu le Grand Prix de la 50ème édition, et où furent ovationnés ces derniers jours Francis Ford Coppola et Natalie Portman.
Le Festival du Cinéma Américain fait découvrir bien des films du cinéma indépendant made in USA, et les nouvelles stars, d’aujourd’hui et demain, dont cette année Sebastian Stan, Daisy Ridley, Mikey Madison, Sean Baker…
Le 50ème Festival du Cinéma Américain se déroule actuellement en Normandie, où le public a pu applaudir Michael Douglas en ouverture, découvrir le « Beetlejuice Beetlejuice » de Tim Burton, assister à l’hommage au cinéaste James Gray… et voir ou revoir « 50 films qui ont changé nos regards sur le monde ».
« La France a été traitée comme un paillasson. […] Il faut commémorer la France, et non les Anglo-Saxons ! » dit-il à Alain Peyrefitte.
Le 6 juin 1944, les forces alliées lancent la plus grande opération aéronavale de l’histoire, marquant un tournant décisif dans la Seconde Guerre mondiale.
Au surlendemain de l’attaque du fourgon de la Pénitentiaire qui a fait deux morts et trois blessés, les spécialistes du grand banditisme se demandent si le prisonnier a été libéré par des complices ou s’il a été exfiltré ‘’pour le faire payer’’.
Réalisé par Shane Atkinson, ce réjouissant polar a remporté trois prix au Festival du Cinéma Américain de Deauville.
« Tout finira par arriver » pour la jeune demoiselle en fugue, héroïne du film de Sean Price Williams, Prix du Jury au Festival de Deauville.
L’actrice-réalisatrice injecte de l’autodérision dans une autofiction, « Icon of french cinema », une série qu’elle a tournée pour Arte. Ou comment une comédienne partie à Hollywood tente de retrouver une place dans le cinéma français.
Grand Prix au Festival de Cannes, le film de Jonathan Glazer démontre par l’exemple « la banalité du mal », le quotidien tranquille et insouciant d’une famille nazie juste à côté du camp d’Auschwitz. Un film qui suscite un malaise, perturbant, glaçant, clinique, bouleversant.